dans cette flaque
miroir,mémoire
Chacun occupe une place
sur la terre
on peut l'agrandir,
sa place,
pas la terre !
La trace, un presque rien, un plus que tout, un "je ne sais quoi qui vous arrive d'aventure", et qui repart aussitôt.
La beauté est passée
Reste une lumière dans la tête
quelques mots dans un carnet.
Un déplacement d'air, quelques effluves, reviendront un jour dans un souffle
Le rideau bougera au rendez-vous des souvenirs vagues
On allonge des jours et des jours
on range quelques silences
au fond des tiroirs
quelques mots s'envolent
bulles de savon
On efface tout
on recommence
l'ardoise est magique
Bonjour Jacques et merci pour la visite à mes "Carnets d'un haïjin"
RépondreSupprimerJe suis très sensible également à la notion de "traces", qui peut effectivement prendre de multiples formes
Bravo pour ce blog, textes et photos, sur lequel je reviendrai régulièrement
Amicalement
Damien Gabriels