Dans les villes, pose ton regard sur la lèpre des murs
le musée est en plein air
lève la tête
il y a
des rêves
suspendus dans l'entre-deux
le linge sèche en attendant les corps
les bras en tombent
il faudrait des épingles à mots
pour accrocher le réel
le corps du vent
gonfle les ombres
et enfle les narines d'une douce odeur de lessive et d'enfance
D
:-))
RépondreSupprimerJe ne connais pas de commentaire plus sibyllin ni plus poétique que ces : ce - et cette double )). Sont-ce de nouvelles épingles à linge ou à mots pour attraper le réel ?
RépondreSupprimer